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Petite introduction : Vie et Habitat des Animaux Fantastiques, par Norbert Dragonneau.

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Dim 17 Sep - 11:22
Qu'est-ce qu'un Animal Fantastique ?

La définition de l'Animal Fantastique a fait l'objet de controverses des siècles durant. Au risque de surprendre certains élèves qui abordent pour la première fois l'étude de la magizoologie, la question apparaitra peut-être plus clairement si l'on considère d'emblée trois type de créatures magiques.

Les loups-garous passent la plus grande partie de leur temps sous une forme humaine (qu'ils soient Moldus ou sorciers). Une fois par mois, cependant, ils se transforment en une bête sauvage à quatre pattes, animée d'intentions meurtrières et privée de toute conscience humaine.

Les moeurs des centaures sont très éloignées de celles des humains ; ils vivent en pleine nature, refusent de s'habiller, évitent les contacts avec les sorciers et les Moldus tout en ayant une intelligence égale à la leur.

Les trolls ont une apparence humanoïde, marchent en position verticale, peuvent apprendre quelques mots de vocabulaire, bien qu'ils soient moins intelligents que la plus sotte des licornes, et ne possèdent aucun pouvoir magique en dehors d'une force prodigieuse qui parait surnaturelle.

Posons-nous à présent cette question : laquelle de ces créatures peut-on considérer comme un être - c'est-à-dire quelqu'un qui mérite de bénéficier de droits garantis par la loi et d'avoir voix au chapitre dans l'organisation du monde magique - et laquelle n'est qu'un animal ?

Les premières tentatives de classification des créatures magiques se sont révélées très sommaires.

Burdock Muldoon, chef du Conseils des sorciers (ancêtre du ministère de la magie) au XIVe siècle, décréta que tout membre de la communauté magique marchant sur deux jambes devait bénéficier du statut d'être, les autres entrant dans la catégorie des animaux. Dans un esprit d'amitié, il invita tous les êtres à rencontrer des sorciers à l'occasion d'un sommet destiné à débattre de nouvelles lois magiques. Mais, à sa grande consternation, il s'aperçut qu'il avait mal évalué la situation. La salle de réunion se trouva en effet envahie par des gobelins qui avaient amené avec eux autant de créatures à deux jambes qu'ils avaient pu trouver. Bathilda Tourdesac nous raconte la suite dans son Histoire de la magie :

"Il était difficile d'entendre quoi que ce soit dans le vacarme provoqué par les hurlements rauques des Diricawls, les gémissements des Augureys et les chants criards et incessants des Fwoopers (ou Focifères). Pendant que les sorciers et les sorcières s'efforçaient de consulter les papiers disposés devant eux, divers lutins et fées tourbillonnaient autour d'eux en gloussant et jacassant. Une douzaine de trolls commencèrent à dévaster la salle à l'aide de leurs massues, tandis que des harpies rôdaient un peu partout à la recherche d'enfants à dévorer. Au moment où le chef du conseil se levait pour ouvrier la séance, il glissa sur une crotte de Porlock et se précipita hors de la salle en poussant des jurons."

Comme nous le voyons, la possession de deux jambes ne pouvait nullement garantir qu'une créature magique s'intéresserait aux affaires qui préoccupaient les instances dirigeantes de la sorcellerie. Découragé et amer, Burdock Muldoon renonça à toute autre tentative d'intégrer au conseil des membres extérieurs à la communauté des sorciers.

Le successeur de Muldoon, Elfrida Clagg, s'efforça de redéfinir le terme d'"être" dans l'espoir d'établir des liens plus étroits avec d'autres créatures magiques. Les êtres, déclara-t-elle, étaient ceux qui parlaient une langue humaine. Quiconque pouvait se faire comprendre des membres du conseil était de ce fait invité à se joindre à la prochaine réunion. Mais cette fois encore, des difficultés ne tardèrent pas à apparaître. Les trolls, à qui les gobleins avaient enseigné quelques phrases simples, recommencèrent à détruire la salle. Des Jarveys se faufilaient entre les pieds des chaises en mordant toutes les chevilles qui se trouvaient à leur portée. Une importante délégation de fantômes (qui avaient été interdits d'entrée du temps de Muldoon pour la raison qu'ils ne marchaient pas sur deux jambes mais glissaient dans les airs) assista à la réunion, mais s'en alla bientôt, outrée parce qu'elle appela plus tard "l'impudente prétention à vouloir satisfaire les besoins des vivants sans accorder la moindre importance aux aspirations des morts". Les centaures, qui avaient été classés comme animaux par Muldoon et que Mme Clagg définissait désormais comme des êtres, refusèrent d'assister au conseil pour protester contre l'exclusion des sirènes et des tritons, qui étaient incapables de converser autrement qu'en langue aquatique lorsqu'ils se trouvaient à l'air libre.

Il fallut attendre 1811 pour qu'apparaissent des définitions acceptables par la grande majorité de la communauté magique. Grogan Stump, qui venait d'être nommé ministre de la Magie, décréta qu'un être était "une créature dotée d'une intelligence suffisante pour comprendre les lois de la communauté magique et pour prendre une part de responsabilité dans l'élaboration de ces lois" (Une exception fut faite en faveur des fantômes, qui se plaignaient d'être classés parmi les êtres en affirmant qu'on ne peut pas "être" et "avoir été". Stump décida en conséquence de créer au sein du Département de contrôle et de régulation des créatures magiques les trois services que l'on connait aujourd'hui : le Service des animaux, celui des êtres et celui des esprits). Les représentants des trolls furent interrogés en l'absence des gobelins et jugés incapables de comprendre quoi que ce soit à ce qu'on leur disait ; aussi les cassa-t-on parmi les animaux en dépit de leur faculté de marcher sur deux jambes ; les sirènes et les tritons furent invités, par l'intermédiaire d'interprètes, à devenir des êtres pour la première fois de leur histoire et s'appelèrent désormais les "êtres de l'eau"; les fées, les lutins et les gnomes, en dépit de leur apparence humanoïde, se trouvèrent classés d'office dans la catégorie des animaux.

Bien entendu, la question ne fut pas définitivement réglée pour autant. Nous connaissons tous les théories de certains extrémistes qui militent pour que les Moldus soient considérés comme des animaux, pas même fantastiques ; nous savons également que les centaures ont refusé le statut d'êtres pour revendiquer celui d'animaux ; les loups-garous, pour leur part, on été longtemps ballottés entre le Service des animaux et celui des êtres ; au moment où nous écrivons ces lignes, il existe un Bureau d'assistance sociale aux loups-garous rattachés au Service des êtres, tandis que le Registre des loups-garous et l'Unité de capture des Loups-garous dépendent du Service des animaux. Par ailleurs, plusieurs créatures dotées d'une haute intelligence ont été classées comme animaux en raison de leur incapacité à dominer leur nature brutale. Ainsi, les Accromantules et les Manticores ont la faculté de tenir un discours intelligent, mais ne peuvent s'empêcher d'essayer de dévorer tout humain qui passe à leur portée. Le sphinx ne parle que par énigme et devinettes, mais se montrera violent si on lui donne une mauvaise réponse.

Chaque fois qu'il existe une incertitude quant à la classification d'un des animaux figurant dans les pages suivantes, je l'ai indiqué dans le paragraphe qui lui est consacré.

Examinons à présent la question que les sorcières et les sorciers posent le plus souvent lorsque la conversation s'oriente vers la magizoologie : Comment se fait-il que les Moldus ne remarquent jamais l'existence de ces créatures?
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Une brève histoire de la Perception des Animaux Fantastiques par les Moldus.

Si étonnant que cela puisse paraître aux yeux de nombreux sorciers, les Moldus n'ont pas toujours été ignorants des créatures magiques et monstrueuses que nous nous sommes si longtemps efforcés de cacher. Un coup d'oeil à l'art et à la littérature moldus du Moyen Âge indique que de nombreuses créatures qu'ils croient aujourd'hui imaginaires étaient connues alors pour être bien réelles. Le dragon, le griffon, la licorne, le phénix, le centaure, et bien d'autres encore, sont représentés dans les oeuvres moldues de cette période, bien que, le plus souvent, avec une inexactitude presque comique.
Pourtant, un examen attentif des bestiaires moldus de l'époque montre que la plupart des animaux fantastiques ont complètement échappé à l'attention des Moldus ou bien ont été pris pour quelque chose d'autre.
Une compréhension imparfaite est parfois plus dangereuse encore que l'ignorance, et la peur que les Moldus éprouvaient à l'égard de la magie était sans nul doute aggravée par la terreur de ce qui pouvait se cacher parmi les herbes de leurs jardins. Les persécutions que les Moldus faisaient subir aux sorciers atteignaient en ce temps-là une intensité jamais connue jusqu'alors et la vue d'animaux tels que les dragons et les hippogriffes ne pouvait que contribuer à l'hystérie moldue.
Cet ouvrage n'a pas pour objectif de traiter des jours sombres qui poussèrent les sorciers à prendre la décision de vivre cachés. Ce qui nous occupe ici, c'est le sort de ces bêtes fabuleuses qui, tout comme nous, devaient être dissimulées si l'on ne voulait pas que les Moldus soient convaincus que la magie n'existe pas.
La Confédération internationale des sorciers débattit de ce sujet lors de la célèbre rencontre au sommet de 1692. Pas moins de sept semaines de discussions parfois acerbes entre des sorciers de toutes nationalités furent consacrées à l'épineuse question des créatures magiques. Combien d'espèces pourrions-nous cacher à la vue des Moldus et lesquelles ? Où et quand devrions-nous les dissimuler ? Le débat fit rage, certaines créatures se montrant oublieuses du fait que c'était leur destin qui était en jeu, d'autres contribuant aux échanges de vues.
Finalement, un accord fut conclu. Vingt-set espèces, qui allaient par ordre de taille des dragons aux Bundimuns, devraient désormais être cachées aux yeux des Moldus pour créer l'illusion qu'elles n'avaient jamais existé que dans leur imagination. Ce nombre fut augmenté dans les siècles qui suivirent, à mesure que les méthodes de dissimulation des sorciers se perfectionnaient. En 1750 fut introduit dans le Code international du secret magique l'article 73 auquel se conforment aujourd'hui tous les ministères de la Magie du monde :

"Chaque administration ayant autorité sur les sorciers de son pays devra exercer sa responsabilité en matière de dissimulation, de soins et de contrôle de tous les animaux, êtres et esprits magiques résidant sur son territoire. Dans le cas où l'une de ces créatures porterait atteinte à un Moldu ou attirerait son attention, l'administration du pays où aurait eu lieu l'incident serait exposée à des sanctions disciplinaires décidées par la Confédération internationale des sorciers."
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Les animaux Magiques dans leurs cachettes.

Il serait vain de nier que l'article 73 a parfois été violé depuis son entrée en application. Les lecteurs britanniques les plus âgés se souviendront de l'incident d'Ilfracombe qui eut lieu en 1932 et au cours duquel un Vert gallois facétieux fondit sur une plage bondée de Moldus en train de se dorer au soleil. Fort heureusement, il n'y eut pas de conséquences fâcheuses grâce à l'intervention courageuse d'une famille de sorciers en vacances (décorée par la suite de l'ordre de Merlin, première classe) qui fit subir aux habitants d'Ilfracombe la plus impressionnante série de sortilèges d'Amnésie jamais opérée en ce siècle, évitant ainsi d'extrême justesse une catastrophe de grande ampleur.
La Confédération internationale des sorciers à dû infliger des amendes à diverses nations pour infractions répétées à l'article 73. Le Tibet et l'Ecosse sont deux des pays les plus souvent mis en cause. Les témoignages de Moldus affirmant avoir vu le Yéti ont été si nombreux que la confédération a estimé nécessaire d'envoyer sur place à titre permanent une équipe internationale chargée de remédier à la situation. Pendant ce temps, dans le Loch Ness, le plus grand Kelpy du monde continue d'échapper à toutes les tentatives de capture et semble avoir développé un goût prononcé pour la célébrité.
En dépit des ces regrettables incidents, nous, sorciers, pouvons nous féliciter d'avoir accompli un excellent travail. Il ne fait aucun doute que l'écrasante majorité des Moldus d'aujourd'hui refusent de croire en l'existence des animaux magiques que craignaient tant leurs ancêtres. Même ceux d'entre eux qui remarquent à l'occasion des crottes de Porlock ou une traînée de Streeler (Musard) - il serait puéril d'imaginer qu'on puisse dissimuler toute traces de ces créatures -, se satisfont de maigres explications qui ne doivent rien à la magie. Si un Moldu avait l'idée saugrenue de confier à l'un de ses congénères qu'il a aperçu un hippogriffe en train de voler vers le nord, il serait aussitôt soupçonné d'être ivre ou "cinglé". C'est sans doute injuste pour le Moldu en question, mais néanmoins préférable à la crémation sur un bûcher ou à la noyade dans la mare aux canards du village.
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Comment la communauté des sorciers s'y prend-elle pour cacher les animaux fantastiques ?

Heureusement, certaines espèces n'ont guère besoin de l'assistance des sorciers pour éviter de se faire remarquer par les Moldus. Des créatures telles que le Tébo, la Demiguise et le Bowtruckle (Botruc) possèdent des moyens propres de camouflage d'une très grande efficacité et le ministère de la Magie n'a jamais eu à intervenir en leur faveur. Il existe également des animaux qui, en raison de leur intelligence ou de leur timidité naturelle, évitent tout contact avec les Moldus - par exemple, la licorne, le Mooncalf (Veaudelune) ou le centaure. D'autres créatures magiques habitent des régions inaccessibles aux Moldus - on pense notamment à l'Acromantule, tapis dans les profondeurs inexplorées de la jungle de Bornéo, et au phénix, nichant sur des sommets montagneux impossibles à atteindre sans l'aide de la magie. Enfin, et c'est le cas le plus fréquent, certains animaux sont trop petits, trop rapides ou trop habiles à prendre l'apparence d'espèces communes, pour attirer l'attention des Moldus - les Chizpurfles, les Billywigs et les Crups (Croups) entrent dans cette catégorie.
Il existe néanmoins un grand nombre d'animaux fantastiques qui, soit délibérément, soit par inadvertance, restent parfaitement visibles par les Moldus, et ce sont ces animaux-là qui créent une charge de travail considérable pour les responsables du Département de contrôle et de régulation des créatures magiques. Ce département, le deuxième par ordre de grandeur au sein du ministère de la Magie, doit prendre toutes les mesures nécessaires à assurer les soins indispensables aux nombreuses espèces placées sous sa responsabilité.  
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Protection de l'habitat.

La mesure la plus importante pour veiller à la dissimulation des créatures magiques a sans doute été la création d'habitats protégés. Les sortilèges Repousse-Modlu empêchent toute incursion dans les forêts où vivent des centaures et des licornes et sur les lacs ou rivières réservés aux êtres de l'eau. Dans des cas extrêmes, tel celui du Quintaped, des régions entières ont été rendues incartables.
Certaines de ces zones de sécurité sont sous la surveillance constante de sorciers, les réserves de dragons, par exemple. Alors que les licornes et les êtres de l'eau ne sont que trop heureux de rester dans des territoires à leur seul usage, les dragons cherchent au contraire toutes les occasions de franchir les limites de leurs réserves pour chasser de nouvelles proies. Dans certains cas, les sortilèges Repousse-Moldu se révèlent inefficaces car les pouvoirs de l'animal lui-même en neutralisent les effets. Il en est ainsi du Kelpy, dont le seul but dans la vie est d'attirer des humains vers lui, ou du Pogrebin, qui recherche la compagnie des hommes.
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Contrôle de la vente et de l'élevage.

Le danger qu'un Moldu fasse une mauvaise rencontre avec un animal magique dangereux ou de grande taille a été considérablement réduit grâce aux sanctions sévères qui répriment l'élevage et la vente de leurs oeufs ou de leurs petits. Le Département de contrôle et de régulation des créatures magiques exerce une surveillance très stricte sur le commerce des animaux fantastiques. L'interdiction de l'élevage expérimental appliquée à partir de 1965 a rendu illégale la création de toute espèce nouvelle.
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Sortilèges de Désillusion.

Le sorcier de rue joue également un rôle important dans la dissimulation des animaux magiques. Les possesseurs d'hippogriffe, par exemple, sont contraints par la loi de faire subir à leur créature un sortilège de Désillusion afin de fausser la vision de tout Moldu qui pourrait l'apercevoir. Etant donné le caractère passager de leurs effets, les sortilèges de Désillusion doivent être renouvelés quotidiennement.
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Le Bureau de désinformation.

Le Bureau de désinformation n'intervient que dans les cas les plus graves de rencontre entre les Moldus et le monde magique. Certains accidents ou catastrophes magiques sont tout simplement beaucoup trop évidents pour être expliqués aux Moldus sans l'aide d'une autorité extérieure. En pareille occasion, le Bureau de désinformation travaille directement avec le Premier ministre moldu pour rechercher une explication plausible à l'évènement. Les efforts incessants de cette instance pour convaincre les Moldus que toutes les preuves photographiques de l'existence du Kelpy du Loch Ness sont le fruit d'une falsification ont grandement contribué à sauver une situation qui devenait excessivement dangereuse.
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L'importance de la Magizoologie.

Les mesures que nous venons de décrire ne donnent qu'une idée succincte de tout le travail accompli par le Département de contrôle et de régulation des créatures magiques. Il reste maintenant à évoquer des questions à laquelle nous avons tous, au fond de notre coeur, une réponse ; Pourquoi continuons-nous, à titre collectif et individuel, à nous donner tant de mal pour protéger et cacher tous ces animaux magiques? La réponse, bien sûr, la voici : pour que les générations futures de sorcières et de sorciers puissent à leur tour s'émerveiller de leur étrange beauté et de leurs pouvoirs comme nous-même en avons eu le privilège.
Cet ouvrage se veut une simple introduction à la richesse de la faune fantastique qui habite notre monde. Quatre-vingt-une espèces sont décrites dans les pages qui suivent, mais je ne doute pas qu'on en découvrira très vite une nouvelle qui nécessitera une autre édition augmentée des Animaux fantastiques, vie et habitat. En attendant, qu'il me soit permis d'exprimer ma joie à l'idée que des générations de jeunes sorcières et sorciers ont pu être amenées, grâce à ce livre, à mieux connaître et mieux comprendre ces animaux fantastiques que j'aime tant.
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La classification du Ministère de la Magie.

Le Département de contrôle et de régulation des créatures magiques attribue une classification à tous les animaux, êtres et esprits répertoriés jusqu'à ce jour. On peut ainsi connaître immédiatement à quel niveau se situe telle ou telle créature, de la plus dangereuse jusqu'à la plus inoffensive. Il existe en tout cinq catégories dont voici le détail :

- XXXXX : Connu pour être un tueur de sorcier / Impossible à dresser ou à domestiquer.
- XXXX : Dangereux / Exige une connaissance spécialisée / Maîtrise possible par un sorcier expérimenté.
- XXX : Ne pose pas de problème à un sorcier compétent.
- XX : Inoffensif / Peut être domestiqué.
- X : Animal ennuyeux.
Newt Scamander
Hiboux envoyés : 2
Date d'inscription : 17/09/2017
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